Le Zimbabwe sollicite le soutien de l’UE pour la commercialisation de sa réserve d’ivoire
2 min read
A travers les chiffres, 163 000 tonnes d’ivoires et 67 tonnes de cornes de rhinocéros ont été stockées dans les coffres du pays. Cependant, cette réserve était utilisée à des buts sociaux. En effet, la commercialisation favorisait l’usage des recettes au profit de la société locale résidante à proximités des réserves d’animaux.
Le directeur général de l’Autorité de gestion des parcs et de la faune sauvages du Zimbabwe, Fulton Mangwanya a annoncé : « Nous demandons le soutien de l’Union européenne pour que le Zimbabwe soit autorisé à ventre en une seule fois son stock national d’ivoire ».
L’accord du CITES
Le pays a reçu la visite de plusieurs hommes diplomates de l’Union européenne qui se sont rendu dans les lieux de stockage d’ivoires et évaluer la demande du Zimbabwe. Le directeur général, s’est alors prononcé : « Nous demandons un soutien pour aller à la Convention sur le Commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) afin qu’ils comprennent le problème des réserves d’ivoire que vous avons ».
Le Zimbabwe, le Botswana et la Namibie sont les seuls pays au monde ayant la plus forte population d’éléphant, il y a trois années. Ces trois nations avaient fait un recours aux autorités du CITES afin d’avoir l’approbation du commerce de leur ivoire. Malheureusement, l’autorisation a été rejetée par le CITES.
A lire aussi : Ecotourisme : l’Afrique au cœur des 50 meilleures destinations de tourisme